L’échographie est un outil diagnostic ayant toute sa place en Médecine Générale, venant compléter dans un même temps l’examen clinique lorsque son indication est retenue. Il permet d’éclairer sans attendre de nombreuses situations et devient très vite indispensable.

L’initiation vous est proposée dans le but d’enseigner les principes fondamentaux de cette technique d’imagerie et son application immédiate à votre cabinet. Elle se base notamment sur la région abdomino-pelvienne avec étude organe par organe.

Avec l’épaule et la cheville, les plaintes fonctionnelles du genou sont très fréquentes. Outre un examen clinique minutieux et un bilan radiographique, l’échographie de cette articulation a clairement toute sa place et permettra d’aboutir à certains diagnostics en explorant les ligaments, tendons et muscles.

L’anatomie des muscles du membre inférieur peut sembler complexe. Vous allez apprendre les techniques d’exploration des adducteurs, des muscles de la cuisse : quadriceps fémoral et ischio-jambiers, ainsi que du triceps sural pour le mollet.

L’échographie cardiaque a toute sa place en médecine générale. Nombreuses sont les situations où il est nécessaire de caractériser de manière rapide certaines pathologies. Il y a une série de coupes et de mesures à savoir réaliser afin d’aboutir à un diagnostic.

On est souvent confrontés à un souffle cardiaque par exemple. Est-il fonctionnel ? Ou la traduction clinique d’une valvulopathie ? Le stéthoscope a très vite ses limites. Face à une dyspnée et/ou une douleur thoracique, l’examen physique ne suffit pas. Outre l’apport de l’ECG qui est bien ancré dans notre pratique de clinicien, l’échographie vient lever certaines interrogations.

Les signes fonctionnels gynécologiques sont un motif fréquent de consultation : douleur, aménorrhée, métrorragie, ménorragie, etc… L’examen physique permet d’objectiver certains symptômes comme les saignements par exemple, mais le diagnostic étiologique reste très souvent hypothétique. L’échographie vient affiner la conclusion.

Les algies pelviennes sont souvent ressenties comme une urgence par les patientes. Il existe une série de diagnostics différentiels, entre les causes urinaires, digestives ou gynécologiques. L’échographie va nous aider dans cette démarche étiologique à caractériser rapidement certaines lésions pelviennes comme le kyste ovarien hémorragique par exemple.

Qu’elle soit désirée, inattendue, intra-utérine ou extra-utérine, la grossesse ne se déclare pas toujours par une simple aménorrhée. Il s’y accompagne souvent divers signes cliniques à ses débuts.

En complément ou pas de la biologie, l’échographie va nous permettre très vite de dater la grossesse, de la localiser et d’orienter la prise en charge sans perte de temps.

Il n’est pas rare de rencontrer des situations cliniques où se pose la question d’une origine artérielle. Quand la plainte est chronique, l’adressage à un confrère de deuxième recours est envisageable. Mais lorsque le tableau clinique est aigu avec suspicion de lésion artérielle, cela relève d’une urgence et l’écho-doppler ne peut être différée.

L’anévrysme de l’aorte abdominale concerne près de 5 % des hommes de plus de 65 ans. C’est pourquoi il est recommandé de procéder à un dépistage systématique dans cette population.

La douleur aiguë du membre inférieur est une plante très fréquente. La clinique oriente vers d’hypothétiques diagnostics, mais elle ne suffit pas à éliminer la thrombose veineuse profonde tant redoutée. La biologie n’étant pas toujours accessible, seule l’échographie va être en mesure de nous guider dans l’urgence.

Les plaintes urinaires sont variées et font partie du quotidien des médecins de premier recours. Face à un tableau de colique néphrétique par exemple, la conduite à tenir, et par-là le pronostic, sont conditionnés par la présence ou non d’une uropathie obstructive. L’échographie permet de manière rapide et très simple de l’objectiver.

Cet atelier s’articulera autour d’une image échographique qui découle d’un cas clinique concret. Le but étant de détailler la méthodologie d’analyse séméiologique échographique d’une lésion, démarche indispensable à l’orientation diagnostique, voire à la caractérisation de la pathologie.

Il existe des pathologies propres aux enfants, principalement dans les premières semaines et premiers mois de vie. La clinique est très rapidement limitée du fait notamment de la non-expression verbale des nourrissons. L’échographie est indispensable pour éclairer le flou diagnostic et ne pas retarder la prise en charge d’une urgence.

Les pathologies du contenu scrotal sont fréquentes et variées. Dans la majorité des cas, elles sont banales et sans gravité (kyste épididymaire, orchite, hydrocèle, etc…). Néanmoins, face à une plainte algique aiguë, le diagnostic doit être rapide et l’échographie s’avère primordiale afin d’éliminer notamment une torsion testiculaire.

Le Développement Professionnel Continu est géré par l’ANDPC, organisme d’Etat. Ses fonds proviennent d’une taxe sur l’industrie pharmaceutique, et d’une contribution de l’Assurance-Maladie. Il concerne l’ensemble des médecins hormis les libéraux non conventionnés.

Vous êtes médecin thésé ayant plus de 50 % d’activité libérale, généraliste ou spécialiste, installé

Vous disposez d’un compte de formation annuel de 21 heures.

Ces formations DPC sont indemnisées pour perte de ressources.

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- être médecin conventionné, en secteur 1 ou 2

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- ou consacré intégralement à une seule formation.

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Pour les formations proposées dans le cadre du congrès votre indemnisation s’élèvera, sous réserve de votre crédit temps disponible, à :

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Le Fonds d’Assurance de Formations des Professions Médicales est la structure officiellement reconnue pour gérer la Formation Médicale Continue (FMC) de tous les médecins libéraux, conventionnés ou non. Il est géré par les syndicats médicaux, et est abondé par les cotisations spécifiques FAF des médecins (versées en février à l’URSSAF). Le FAF-PM délègue aux organismes agréés, comme l’A2FM, le soin de proposer et d’organiser des actions de formation.

(A) Il prend en charge les formations agréés FAF PM.

(B) Ou rembourse tout ou partie de l'inscription au  congrès si vous ne suivez pas de formation, sous réserve de la reconduction des règles de prise en charge à titre individuel en 2024.

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Où se cache donc cette attestation FAF qu’on me réclame ? 

(B) Vous souhaitez participer uniquement aux tables rondes et accéder l’espace Exposition

Les étapes pour demander la prise en charge

- s'inscrire au congrès

- dans les trente jours après la date de fin du congrès, transmettre une demande de prise en charge directement auprès du FAF-PM par voie postale avec les éléments suivants :

• un formulaire dûment renseigné,
• une copie du programme de la formation,
• une facture acquittée et nominative,
• une attestation de présence nominative,
• une attestation de versement de la Contribution à la Formation Professionnelle délivrée par l’URSSAF dans l’année en cours au titre de l’exercice N-1. Un exemple est consultable ici,
• un relevé d’Identité bancaire.

Depuis peu, cette demande peut également être formulée en ligne.

Suite à l'inscription confirmant vos choix d'ateliers, vous recevrez une convention de formation ainsi qu'un devis par mail, à nous retourner signés.
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